Ce dernier tome, quatorzième du nom, est dans la lignée de la série. On voit apparaitre à la fin de celui-ci un nouveau personnage (je vous laisse deviner quoi) mais comme le principe le veut, il n’y a pas vraiment d’histoire dans la suite des planches. Il n’y a qu’une seule chose que je regrette, c’est que Dupuis, pour faire la promotion de ses album, publie à l’avance dans des hebdomadaires ou des quotidiens une partie des planches. Cela m’a donné une légère déception de constater que je connaissait une partie des gags.

C’est finalement une bonne tranche de plaisir de lire les préquelles de ce grand aventurier et pour paraphraser le texte introductif très métalangagier du Petit Spirou : quand j’étais petit, il n’y avait que le grand Spirou et quand j’étais un peu moins petit, j’ai découvert le Petit Spirou. En fin de compte, je ne lis plus que les aventure du Petit Spirou pour une raison toute simple, en fait je suis fan de Tome et Janry qui sont les seuls à avoir jamais réalisé ce spin off contrairement au grand Spirou qui aura connu de nombreux papas. Je n’ai pas lu beaucoup de grand Spirou et n’aime plus les nouveaux qui ne sont plus de ces deux auteurs.

Vous allez découvrir que je lis beaucoup les éditions Dupuis parce que je vais vous parler prochainement d’autres œuvres de ces éditions.