Profitant de mon retour en voiture et d’un bouchon j’ai quasiment eu le temps d’écouter deux album. Le premier est  Songs For You de James Morrison et le second est Hobo de Charlie Winston.

 

J’était impatient d’écouter James Morrison puisqu’il a chanté avec Nelly Furtado qui est l’une de mes interprètes préférée. Cet album est sympathique, il se laisse écouter sans problème, quelques morceaux se démarquent du lot (dont Broken String) et la voix légèrement enrouée donne de la couleur au tout. Néamoins, je n’ai pas su me plonger dans l’album, je ne saurais pas l’écouter en ne faisant rien  (ndlr : il ne faut rien faire d’autre quand on conduit la voiture).

Ce second album de James Morrison suit Undiscovered sortit en 2006 avec le morceau bien connu « You give me something » .  est un bon petit moment à écouter mais je dois avouer que ma préférence reste sur le second album dont je vais parler.

Faire la critique de deux album en même temps peut sembler douteux de peur de les comparer. Némoins, la critique que je délivre se fait d’une part dans l’ordre d’écoute et d’autre part ces deux albums ne sont guère comparable. Ils n’ont un point commun, ils sont tous les deux britaniques.

Un monsieur a dit dans le Sampler de cette semaine que Charlie Winston est un successeur potentiel à Bruce Springsteen et j’ai entendu quelque part que Peter Gabriel était le mentor de ce monsieur. En plus de de ces informations imprécises, je vais vous donner mon avis aussi peu précis. Like a Hoboo est tombé sur les ondes radiophoniques fin de l’année passée et c’était toujours un plaisir d’arrêter de travailler pour l’écouter. Je redoutais que le reste de l’album ne soit pas aussi sympa et je me suis bien trompé. C’est un ensemble de morceaux principalement jouées à la guitare et à l’harmonica. C’est un album cassé folk pour certains mais je dirais qu’il peut être aussi jazzy (note pour moi même trouver des vrais mots pour décrire des albums). Les morceux ont tous leur personnalité et forment un ensemble très eccléctique. Certains sont d’agréables surprises, ils peuvent surprendre au fil de l’album qui est déja un véritable palaisir sans cela. Hobo est le premier opus d’une carrière que je souhaite prometteuse à Charlie Winston.